L’ëgale à vingt plus dix

Ça faisait dix années que tu avais vingt ans,
Même en traînant les pieds, tout ça ne dure qu’un temps.

La fillette confirmée, est passée jeune femme,
La beauté affirmée, au touché d’une flamme.

Tes yeux ne brillent pas pour quelques possessions.
Les cadeaux sonnent plus comme des punitions.

Ainsi voici mon offre, un mot pour un sourire,
Pour remplir mon coffre, un seul devrait suffire.

Prends-en donc un qui vient, parmi ceux du poème,
Celui-ci te va bien, il s’agit du trentième.

ndla : Le hasard faisant bien les choses, Il est le trentième que je pose.

4 réflexions au sujet de « L’ëgale à vingt plus dix »

  1. salut, je suis iranienne, mais j’adore le france, et j’adore les poemes,
    et ici, je lis beaucoup et je juie
    merciiii

  2. Poème soumis à 5 contraintes.

    Un âne y verse air

    Voici venir le temps de déboucher le vin :
    Ici, que chaque verre soit plein comme un oeuf.
    Ne bois pas avant 😉

    Garde au chaud tes crayons, toi l’artiste écrivain,
    Toi qui vis sur palette. Que ce bel an neuf
    Ne soit décevant.

    Entends-tu tes copains ? Je les vois – au moins vingt,
    Unis près du gâteau. Ils te tiennent : « Attends, ne f… ! »
    Feu ! C’est toi le vent !

    Adieu les bougies…. Te raisonner est vain.
    N’en déplaise aux fâcheux, tu es le mot vingt-neuf.
    Salut, ô vivant !

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