Il me plaies à panser

Que de n’pas partager, je préfère m’abstenir,
Deviens-je trop enragé, pour parfaire mes plaisirs?

Tu es devant moi mais j’utiliserais « elle »,
Aima-t-elle en soi mes rêves quasi réels.

Nu tel un ver, je dévoile mon inquiétude,
Elle lira ces vers… J’espère sa mansuétude.

3 réflexions au sujet de « Il me plaies à panser »

  1. Il me plait à penser qu’à moi ces vers sont adressés
    Peut-être n’est-ce qu’un rêve… tanpis je l’prend sinon je crève!

  2. Je crois que l’anonyme, ne peut être sans plomb.
    Ne doutant pas d’sa rime, qui ne manque d’aplomb.

    Crois-en cet état d’âme, je ne veux m’obstiner,
    Pas le « elle » d’une femme, mais de ma destiné.

    J’utilise perso « elle », en un but exigu.
    En des vers personnels, pour le moins ambigus.

    Suis-je ainsi condamné à ne comprendre rien ?
    Désolé pour l’énigme mais tu me le rends bien.

  3. Jamais ne m’est venu à l’esprit
    D’y voir de l’ambigu
    Dans ces rimes si joliment écrites
    Qui m’ont semblées si crues

    J’ai voulu m’amuser un instant
    A me croire l’élue
    Mais je sais très bien qu’a vous je mens
    Vous tous qui m’avez lue.

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