L’Homme qui murmurait à l’oreille de l’âne

L’âne Onîm a des amis,
Parmi eux mon petit pote.
Nos balades ont déjà mis,
De l’amitié plein nos bottes.

C’est pour lui que je transmets,
Cette poésie si légère,
À des lecteurs en transe mais,
Prétextant l’anniversaire.

Au pas, au trot, au galop,
Notre philosophie court,
N’étant pas trop mégalo,
Laissant nos dires dans la cour.

Je n’lui souhaite que du bonheur,
L’émergence de ses désirs.
Je sais que j’aurais l’honneur,
D’écouter tous ses plaisirs.

2 réflexions au sujet de « L’Homme qui murmurait à l’oreille de l’âne »

  1. Levons nos verres
    Pour cet anniversaire !
    Je ne sais pas si c’est le plus beau
    Mais c’est surement quelqu’un d’rigolo

  2. Auprès de mon âne, je vivais heureux.
    j’aurais jamais du le quitter des yeux.

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