5 réflexions au sujet de « L’auteur »

  1. J’t’ai défini d’être procrastinatique,
    Mais tu es tout simplement magnifique!

    J’eusse aimé t’arriver à la cheville,
    Mais mon esprit ne vaut pas une quille.

    J’ai essayé de bien mieux faire,
    Mais j’n’égalerai jamais tes vers!

    Enfin j’t’ai visité,
    Est-c’que tu m’reconnais?

  2. Mais que deviens notre ami à quatre pattes, quel est ce silence ?

    L’âne Onîm serait-il tombé dans l’oubli pour que soudain de nouvelles plus n’ayons de lui ?

  3. J’ai rencontré une souris blanche
    Mais ce n’était qu’une apparence!
    Et en grattant un peu,
    J’ai découvert un rat!

    Avoir passé tant de nuits blanches,
    Et t’accorder tant d’importance…
    Quand on m prend parce qu’on m veut,
    J’aime à croire q’ ça dur’ra!

    Ces vers ne sont pas là pour te flatter,
    Mais pour te montrer la réalité:
    Tu ne m’avais rien promis,
    Mais t’es loin d’être un ami!

  4. Mais que t’ai-je dont fait, pour mériter cela ?
    Pourquoi être en colère, toi qui m’interpella ?

    Je ne suis pas souris, encore moins un rat,
    Dont mon chat se nourrit; Je suis âne et sera.

    De quelle réalité, parles-tu dans tes vers ?
    C’est ta moralité… qui fonctionne à l’envers.

    Explique-moi mes torts, et juge-moi ensuite,
    Dans ta tête tu t’en sors, en choisissant la fuite.

    A toi d’avoir conscience, du vicieux égoïsme,
    Plus facile qu’une science, un idiot mécanisme.

    Écrire ce que l’on pense, c’est poser les problèmes,
    Tes mots ont peu de sens, ton nombril nous les sème.

    Ton ami je n’suis plus, et bien j’en suis fort aise,
    Car des miens je n’ai lu, de plus basse foutaise.

    J’pensais notre amitié, solide je t’assure,
    De tes proches par pitié, écoute les blessures.

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